La pièce retrace les derniers mois de la vie de Mazarin, principal ministre du jeune roi Louis XIV dont il achève la formation de souverain. Assisté de Bernouin, son fidèle premier valet, le cardinal souhaite achever son œuvre en signant la paix avec l'Espagne, contre laquelle la France est en guerre depuis trente ans, et qui a ruiné les finances du royaume. La reine-mère Anne d'Autriche tente de convaincre le roi de choisir le mariage de raison avec l'infante d'Espagne, ce qui mettrait fin à la guerre, contre un mariage de passion avec Marie Mancini, la nièce de Mazarin. Colbert use de son influence pour préparer son accession à la surintendance des finances à la mort du cardinal.
Dans l'extrait que je mets en ligne, on voit à quel point rien n'a vraiment changé depuis le Grand Siècle quand il s'agit de pomper les ressources des sujets du Prince, ceux qu'on appelle aujourd'hui des "citoyens" pour les rassurer...
Excellent. J'avais moi même utilisé cette citation célèbre dans un de mes billets.
RépondreSupprimerEt pourtant, ce sont les "classes moyennes" qui créent la richesse d'un pays, par leur goût du travail, leur besoin d'entreprendre, de créer et d'innover, et de repondre à leur besoin d'accéder, par leur seul mérite et par leurs sacrifices à un meilleur statut social.
Ce sont les "classes moyennes" qui sont les plus attachées à la démocratie: c'est si vrai que, dans les pays totalitaires ou de dictature, il n'y a pas de classes moyennes, car elles sont traitées avec mépris des "classes bourgeoise"...